Ces quelques lignes afin de vous faire part de ma vision dans la pratique de notre art :
LE KARATÉ

Le but de mon enseignement est simple…  » Je transmets les enseignements des anciens « .

Mon seul souhait est de transmettre l’enseignement de MABUNI KENWA Sensei (Kaisho) au travers de l’enseignement que j’ai reçu de son fils MABUNI Keneï Soké pour qui le KARATE était le ZEN accompli et de son disciple MIZUGUCHI Hirofumi Sensei.
J’ai trouvé en eux des Hommes bons et généreux dont le seul souci était de transmettre l’héritage du SHITO–RYU

De leur enseignement j’ai appris.
Et je retransmets le plus fidèlement possible.
Et que vous dire des assistants de MIZUGUCHI Sensei …
ils m’ont accueilli, accepté comme un des leurs.
Je pense particulièrement à YAMAOKA Sensei.
J’ai compris ce qu’était une fraternité au sein d’un dojo…
et c’est cela que je veux transmettre.

« UN VRAI MAITRE ESSAYE DE FAIRE SORTIR L’AUTRE DE LUI-MEME. »

Jean-Eric LUQUE

Découvrez l’article sur M. LUQUE rédigé par la Fédération Française de Karaté :

« Jean-Eric LUQUE, la sincérité au coeur »

Extrait d’un article suite au stage Shito-Ryu du 28/09/2024 rédigé par la Fédération Française de Karaté :

Emblématique professeur du Sepaï Dojo Marseille, Jean-Éric Luqué, 7e dan, résume le sentiment général suite à ce stage : « Nous avons eu le plaisir d’avoir quatre-vingt-quinze participants, ce qui constitue la première réussite de ce rendez-vous. Des participants, qui pour certains, venaient d’autres styles d’ailleurs, ce qui est intéressant. Des arbitres étaient également présents afin d’étoffer leurs connaissances sur le style.

Ce fut vraiment un stage dense, avec six heures de pratique sur la journée.
Chaque expert – Janick Poupée, Rahim Ndoye, Alain Galiana et moi-même – avait une heure trente d’intervention pour faire sa proposition technique. Je pense parler au nom de tous quand je dis que l’intérêt, l’envie de travailler et de progresser des stagiaires nous ont marqués.

Nous avions deux objectifs sur ce stage : promouvoir et rassembler. Cet événement a l’intérêt de pouvoir lancer véritablement la saison. Personnellement, j’avais décidé de proposer un travail technique multidirectionnel de main ouverte. J’ai mis l’accent sur la prise de conscience nécessaire des sensations et la justesse du geste.

Dans mon discours aux participants, je souhaitais qu’ils retiennent ceci : chacun à son niveau et une marche après l’autre, quel que soit son niveau. Un précepte de Maître Mabuni qui me semble toujours aussi pertinent.»

Lire l’article en intégralité

Article paru dans l’Officiel Karaté Magazine n°18